L’assurance vie est une solution d’épargne parmi tant d’autres actuellement présentes sur le marché français. Cependant, si ce dispositif est aussi apprécié par les assurés et les investisseurs, c’est qu’il présente de nombreux avantages. Les raisons de la souscription à ce dispositif peuvent être différentes d’un souscripteur à l’autre. Si vous êtes en couple ou si vous avez des enfants, sachez qu’il est parfaitement possible de souscrire une assurance vie. Mais avant tout, il faut connaître ces quelques points.
Souscrire à une assurance vie en couple, ce qu’il faut savoir
Être en couple ne signifie pas toujours que vous avez tous les droits sur les actifs qui appartiennent à l’un ou à l’autre. En cas de décès de l’un des compagnons, si vous êtes en simple situation de concubinage, vous n’aurez aucun droit de succession sur ce que le défunt avait de son vivant. En souscrivant à une assurance vie, il est possible de choisir un bénéficiaire qui va hériter du capital épargné qui peut être le compagnon survivant, à votre décès, même si votre couple n’est pas marié. Cependant, si c’est le compagnon bénéficiaire qui décède en premier, les procédures peuvent être difficiles pour débloquer le capital épargné. Pour éviter cela, sachez qu’un couple, même non marié, peut souscrire à une assurance vie conjointement. Dans ce cas, si l’une des deux personnes meurt, la succession n’aura pas lieu, le survivant détiendra la totalité du capital épargné, ainsi que les revenus. Par ailleurs, pour les couples mariés, ils peuvent choisir d’ouvrir plusieurs comptes d’assurance vie. De ce fait, les conjoints peuvent ouvrir seuls, chacun de son côté, un compte d’assurance vie. Ils peuvent également souscrire ensemble à une assurance vie ou ouvrir des comptes pour chacun de leurs enfants. Si le couple décide d’ouvrir un compte conjointement, le choix des supports associés à l’assurance vie du couple doit être une décision émanant des deux souscripteurs. Si le couple décide d’investir dans les unités de compte, les arbitrages doivent être faits par les deux souscripteurs. En d’autres termes, aucun ordre ne peut être validé sans la signature des deux personnes. Il faut aussi noter que même les primes qu’ils versent ne doivent provenir que d’un compte commun du couple.
Quid de l’assurance vie pour votre enfant
Il est également possible de souscrire une assurance vie pour son enfant. Cependant, le souscripteur doit toujours être une personne adulte qui peut être un parent de l’enfant. L’enfant sera quant à lui l’assuré. Il bénéficiera de la totalité de la somme épargnée ainsi que des revenus une fois que le contrat d’assurance vie arrive à son terme. Le contrat fera aussi mention d’un bénéficiaire. Il s’agit de la personne à qui on versera le capital épargné si l’enfant décède avant la fin du contrat. Ce bénéficiaire peut être le souscripteur lui-même, son frère ou sa sœur, ou une autre personne qui doit être mentionnée clairement dans le contrat. Outre ces points, avant de souscrire une assurance vie pour un enfant, il faut connaître les autres conditions. Si l’enfant est âgé de moins de 12 ans, il est indispensable que le contrat soit signé par les deux parents. Dans le cas où l’un des parents, ou les deux ne sont plus présents, il est nécessaire de passer par un juge des tutelles. Il prendra la décision concernant l’autorisation ou non de la souscription à une assurance vie pour l’enfant. Dans le cas où l’enfant est âgé de 12 ans ou plus, il faut demander son accord avant de lui souscrire un contrat d’assurance vie. Dans tous les cas, si vous voulez souscrire une assurance vie à votre enfant, il faut bien choisir le professionnel qui se chargera de gérer le contrat. Passer par les services de Nalo ou Robo advisor peut être bénéfique dans ce cas. Chez ce gestionnaire de contrat d’assurance vie, vous pouvez demander des devis avant de signer votre contrat. Les solutions qu’ils vous proposent permettent de fructifier l’épargne constituée pour votre enfant, avec des frais moindres. Nalo ne perçoit pas de frais sur les versements. Les frais de gestion ne sont que de 0,8 % du montant versé. Et pour les investissements, des frais de 0,55 % sont à prévoir, mais ils ne s’appliquent que si vous choisissez des supports en unités de compte.